La valise noir

Une vague de chaleur atteint klhaoma city. La peinture fraîche fond et les pneus colle à la route ainsi que les personnes sur leur sofa de cuir. La chaleur est étouffante et je ne connais qu’un seul endroit ou se refroidir gratuitement : L’aéroport. Je suis partit a pied car la chaleur a presque fait fondre mon moteur de merde. Puisque mon tacot rouillé ne servait plus a rien, je suis partit à pied. Pourquoi aller à l’aéroport et non à au cinéma?
Pourquoi ne pas m’acheter une nouvelle voiture? Car je suis paumé, pauvre, perdu mon job, pas de femme ou de connaissance pouvant me prêter de l’argent. Alors je suis pogné dans mon 2 ½ attendant d’avoir un peu de monnaie. J’ai les cheveux châtains et des yeux pers. Je mesure environ 6 pieds 2 et je porte des lunettes mais principalement des verres de contact. Au secondaire et à l’université j’avais souvent des copines mais ce temps et finis et maintenant je suis pris dans un logement qui ne chauffe pas et que l’eau est froide.

Je regarde ma montre. WOW! Voilà déjà 3 heures que je suis assis ici et que je regarde les passants passer. Je vais rentrer, de toutes façons je commence à mourir de faim. Ses alors que mon regard croisa pour environ la centième fois la valise noire, poster à l’ombre d’un petit arbre. Mon instinct me disait de retourner chez nous et que ce n’était pas mes affaires mais ma curiosité l’emporta et j’approche de la valise. Je la ramasse, légers, très légers. Mais qu’est-ce qu’il y a bien dedans? Sûrement du linge ou autre chose inutile, ma décision est prise, je la rapporte aux objets perdus. Pendant que je marche, je sens qu’on me regarde. Je lance un petit coup d’œil derrière mon épaule et je remarque deux changements. Un asiatique a descendu son journal et un blanc a arrêter son café à quelque centimètre de ses lèvres, les deux me regardent. Une étincelle de peur apparue au fond de moi et j’accélère le mouvement. J’aperçois les portes au bout du couloir et je m’élance lorsque j’entends deux personnes se lever en même temps.

Rendu chez nous je me couche et dépose la valise a coté de mon lit. Exténuer à cause de ma course folle il ne tarde pas avant que je ne dorme.

Plusieurs coups puissants cogner à ma porte me réveillent. Je me lève et trébuche sur quelque chose avant de m’étaler de tout mon long. Je regarde derrière moi et découvre la valise. Merde j’avais oublier d’apporter la valise aux objets perdus. Je me relève et je m’approche de la porte en regardant dans l’œil. Non ses pas vrai ses les deux gars de l’aéroport. Qu’est-ce qu’ils font ici ? Tout devient clair ils veulent juste la valise, ses simples. Bon je vais la chercher et je la ramène. Mais en détournant mon regard de l’œil je remarque un pistolet de 9 mm dans la main droit de l’Asiatique. Dans quoi je me suis fourrer ? Je cours vers mon lit et prends la valise au passage avant d’ouvrir la fenêtre et de monter sur l’escalier de secours. J’entends la porte vibrer sous les coups d’épaules de l’homme et avant de s’avoir ce qu’ils me veulent, je descends rapidement les escaliers à fond le train et continue à courir dans l’étroite ruelle. Des coups de feux retentissent derrière moi et frappe l’asphalte. Je me le redemande encore, dans quoi j’me suis fourrer?